Etant donné toute cette information, dont la plupart est répétée oralement à plusieurs reprises dès le début du cours, étant donné le préavis généreux de la date de remise, et étant donné mon/notre accessibilité en cas de difficulté, je trouve très peu raisonable les demandes d'extension, sauf dans les cas très exceptionnels. Avec toute cette information on vous a permis d'organiser votre temps de la meilleure façon. Laisser tout trainer (niaiser) jusqu'à la fin de session c'est votre décision. Si vous décidez de ne commencer votre travail qu'au dernier moment, je trouve un peu forte, voire inacceptable, la notion qu'il faille vous accorder une extension. Les crises d'ordinateur sont traumatisantes mais elles n'empêchent pas du tout la remise à temps de votre travail si vous sauvgardez regulièrement votre travail selon les instructions dans L'ABC de la remise des travaux, en particulier ici et ici. L'ordinateur est une machine. Il est absurde de croire qu'elle ne sera jamais en panne. Sauvgardez soigneusement et régulièrement votre travail! Les clés USB ne sont pas chères : $25 pour 1 gig,, $70 pour 4 gig., par exemple (avril 2007). Pour $150 on peut même avoir un disque externe de 100 gig. Cest dans votre intérêt et de votre ressort de ne pas perdre votre travail à cause d'une panne d'ordinateur. Hélas! Quoi dire à ceux qui, en pretendant qu'ils doivent prioriser d'autres cours, relèguent l'étude des musiques populaires, y compris la musique et les images en mouvement, à un niveau inférieur ? Eh bien, je leur dirais qu'ils avaient mal choisi parce que je travaille depuis presque quarante ans afin que les musiques de la majorité populaire soient prises au sérieux dans les institutions officielles de l'éducation et des recherches. Entendre que l'on accorde à l'étude de ces musiques un intérêt marginal ne contredit pas seulement le but le plus important de ma vie professionnelle : ça représente aussi, à mon avis, une perspective anti-démocratique dans la mesure où on priorise les connaissances des musiques associées généralement aux couches sociales privilégiées par rapport à celles de la majorité populaire. Qu'est-ce qu'il y a de plus important : bien réussir individuellement dans le cadre du programme d'études choisi ou comprendre un peu mieux une petite partie des musiques quotidiennes de la majorité humaine ? Bien sûr, tous les deux sont importants et la plupart d'étudiants sont à mon avis entièrement capables de les combiner. Bref, le « raisonnement » élitiste na aucune légitimité, ni dans des cours sur les musiques populaires, ni ailleurs. |